David Apikian, Chantal Atelin, Françoise Aubry, Milija Belic, Roger Bensasson, Joël Besse, Francesc Bordas, Francesco Camponovo, Joël Chasseriau, Serge Collomb, Roland De Jong Orlando, Lino De Giuli, Michel Delaunay, Delnau, Bernard Didelle, Gilles Drouin, Manja Hazenberg, Gerhard Hotter, Hernan Jara, Yomiko Kimura, Danielle Lescot, Pascal Mahou, Pascal Maillard, Jean-Luc Manguin, Pierre Millotte, Mitsouko Mori, Munira Naqui, Milena Rigolli, Luisa Russo, Jun Sato, János Szász Saxon, Go Segawa, Bogumila Strojna, Muneki Suzuki, Alain Tergny, Mira Odalovic Belic.
5/5 – 5/6 2025
Museo di Arte Contemporanea [MACS] | Santa Maria Capua Vetere | Italia
Carrément est une association d’artistes internationaux fondée à Paris en 2014, visant à promouvoir l’art construit, l’art concret et l’art cinétique, en particulier l’abstraction géométrique. Cette approche artistique est souvent perçue comme un reflet des dynamiques contemporaines, notamment l’impact de l’ère numérique sur les formes visuelles.
Le nom CARRÉMENT s’inspire du terme “carré” et fait référence au groupe Cercle et Carré, fondé en 1930 à Paris. Ce groupe avait pour but de réunir des artistes autour de principes communs d’art abstrait, incluant des figures majeures telles que Wassily Kandinsky, Piet Mondrian, Antoine Pevsner, Hans Arp, Walter Gropius et Michel Seuphor.
Les expositions organisées sous le nom CARRÉMENT ont eu lieu principalement à Paris, mais aussi à Sydney et Sabadell. Elles réunissent des artistes de divers horizons, avec des participations de peintres, sculpteurs, photographes et vidéastes. Parmi les artistes ayant exposé avec l’association, on retrouve des noms comme Julio Le Parc, Vera Molnar, Marino Di Teana et Ode Bertrand.
ARTISTES
Né en 1950. Etudie la peinture et le dessin aux Beaux-Arts d’Erevan. Etudie l’Architecture à l’Institut Viiralt à Tallinn (Estonie), dont il est diplômé en 1982. A Paris depuis 1984, il travaille comme architecte, puis dans les effets spéciaux de cinéma. Il enseigne à Paris et Copenhague. Il participe à de nombreuses expositions personnelles et collectives, en France et à l’étranger. “Dans mon travail, j’utilise parallèlement les outils les plus divers, allant des pigments au numérique, en fonction du projet en cours. Mes compositions sont toujours construites sur des trames spatiales précises. L’héritage de l’Avant-garde russe et les méthodes de travail de l’École scandinave d’Architecture ont été déterminants dans ma formation.“
Membre d’Art Construit International depuis 2015. Collections en France, Allemagne, Autriche, Pays-Bas. Expositions en 2024 : Salon Réalités Nouvelles, Paris ; Abstrakte Gedanken, Konkrete Formen, ZS Art Galerie, Wien ; Les Jeux Artistiques, Château de Maillebois ; Puissance 4, La Manu, Nantes ; Rouen National Arts, Halle aux Toiles, Rouen ; Contre-courant, Greniers à sel, Honfleur. En permanence : Galerie Gimpel & Müller, Paris ; Galerie Le Réservoir, Sète. “Mes Architectures du Vide sont constituées d’une interaction entre la structure métallique, le vide intérieur et l’environnement. Elles ne s’opposent pas à l’espace, mais s’y intègrent.”
Née en 1962 à Sannois. À l’occasion d’un voyage d’étude en Allemagne, elle s’imprègne d’artistes tels Klee, Kandinsky, Macke et des expressionnistes, dont Nolde. Le parcours de Françoise Aubry aboutit à la traversée de la matière, par un travail de la transparence et de la lumière, au travers de matériaux tels le verre dichroïque, le miroir et le PMMA. “Matière, immatérialité, structure, statique et dynamique sont les points essentiels de ma démarche. La matière, la transparence et la couleur forment une structure mouvante quasiment imperceptible à l’oeil nu. L’apparente statique de la structure devient tableau mouvant à multiples entrées ou plans. Il s’agit de montrer la charnière entre la matière et son absence apparente.”
Peintre, sculpteur, théoricien de l’art. Vit et travaille à Paris. Né en 1954. Doctorat de l’Université de Paris I Panthéon Sorbonne en Arts et Sciences de l’Art en 1994. Membre de l’AICA depuis 1999. Membre du Comité de Salon Réalités Nouvelles de Paris depuis 2016. Fondateur et président de l’Association CARRÉMENT Art Construit (Paris) depuis 2014. Plusieurs exposition individuelles et collectives en France et à l’étranger. A publié plusieurs livres, dont “Apologie du Rythme” (L’Harmattan, Paris, 2002) ; “Omcikous” (L’Age d’Homme, Lausanne, 2004) ; “Izazov modernosti” (Arhipelag, Belgrade, 2017), etc. Collections : Bibliothèque Nationale, Paris ; Musée Satoru Sato, Tome (Japon) ; Musée d’Art Contemporain, Belgrade ; Galerie Plexus, Chexbres (Suisse)…
Né à Paris en 1931. Formation : Académie Henri Goetz, Paris. Dernières expositions collectives 2024 : “This is the future of Non Objective Art!”, Atlantic Gallery, New-York ; Un choix, exposition chez FALCONX, New-York ; “Sélection du Musée Madi”, Galerie Deak 17, Budapest, “Est-Ouest Hongrie”, Galeria K28, Budapest ; “Small works by great masters”, BCT Budapest Contemporary 2024 ; “Intention et Non Intention III”, Musée Wu Dengji, Taipei (Taiwan) ; “Convergence Abstraite”, Galerie 1905, Shenyang (Chine). Salon des Réalités Nouvelles depuis 1986. “Depuis 2008, je développe mon œuvre autour d’un signe issu du carré dans des compositions illimitées dans le « presque pareil et pourtant différent ». Dire le plus avec le moins : un seul signe et deux couleurs : blanc et rouge.”
Né à Brive en 1951. Vit et travaille à Paris et Auxerre. Expositions personnelles en 2023, sélection : Galerie Editions Fanal, Bâle (Suisse). Expositions collectives en 2024, sélection : “Art Construit International”, Galerie ACI, Paris ; RN hors les murs, Galerie Noir et Blanc, Bastia ; “Art abstrait et jeux”, Galerie Abstract Project, Paris ; RN hors les murs, Galerie 1905, Shenyang (Chine). Depuis 2001 : Salon “Réalités Nouvelles”, Paris. Collections privées : France, Allemagne, Argentine (collection Sofia Müller), Hongrie, Australie.Collections publiques : Musée Satoru Sato, Tomé (Japon) ; Muséum Vác, Hongrie ; Centre d’art Frank Popper, Marcigny (Saône-et-Loire).
Né à Sabadell en 1957. Artiste catalan, établit à Paris depuis 1989, a construit une oeuvre qui appartient à la généalogie de l’abstraction géométrique. “Le temps de Bordas n’est plus celui de l’utopie du design, les jeux de perception ne suffisent plus à nous libérer et l’esthétisme à lui seul ne peut nous combler. Nous sommes, par contre, à un moment qui exige l’interrogation, le questionnement. …Avec précision et délicatesse ouvre des fentes de lumière qui, comme des éclairs, brisent le vide. Ainsi est suggéré une complexité de la matière et de la lumière qui peut être assimilée à la conscience contemporaine de l’ambiguïté physique du réel.” (Extraits du texte de Alex Mitrani)
Born 1951 in Mendrisio (CH). Lives and works in Basel (CH) and Ferrette (FR). Academic studies : 1975 MSc ETH Zurich, 1979 Dr Sc ETH Zurich. Training in painting : 1990-1993 Basic course with M. Vacossin at Atelier FANAL in Basel ; 1993-2005 Advanced course with M. Vacossin ; 1995 Course on technique with J. Juszczyk in New York. Affiliations : 2019 Member of Visarte Switzerland, Section Basel ; 2017 – 2021 Exhibition manager at Editions FANAL. Exhibitions : Exhibitions in galleries, museums, and fairs on an international level. Publications : Lines – Grids & Cut-Outs, foreword by Eugen Gomringer (2021) ; Art Construit, foreword by Gérard Xuriguera.
Né en 1950. Vit et travaille à Paris. Il a une formation de graphiste. Il est conseillé en communication graphique, plasticien, graveur et maître imprimeur d’art.
Diplômé en 1980 d’un BTS Plasticien surface à l’ÉSAA Duperré (Paris).Passionné par la couleur, j’exerce dès lors la profession de coloriste au sein de l’Atelier 3D Couleur, puis en indépendant à partir de 1986. En 2012 je souhaite m’engager dans une activité plus artistique et suivre une démarche créative personnelle.Si la peinture constitue mon activité principale, je mène aussi différentes recherches plastiques, numériques ou en volume. La couleur y occupe une place essentielle.J’expose depuis 2016 au salon Réalités Nouvelles à Paris et ai participé à des expositions à l’international. En 2020, j’ai exposé à l’Atelier Fanal (Bâle), spécialisé dans l’art construit, avec lequel j’ai depuis réalisé 6 sérigraphies.
Né à Paris en 1951. Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Expose aux Réalités Nouvelles depuis 2010. “Lino de Giuli ne craint pas de faire chanter le signe, la couleur, la surface ; il veut qu’ils puissent dire avec leurs qualités immanentes ce qu’ils ont à dire, mais – et c’est là sa force – il ne s’arrête pas à l’expérience de la couleur, de la physique de la lumière, du rythme, des accords ; il passe outre, il s’attache au sens, au discours historique comme poétique. En ce sens, l’artiste montre sa grande maturité dans sa capacité à vibrer à travers un art qui est pensée, concept, théorie.” (Francesco Altea)
Artiste français, théoricien de la géométrie et de la perspective. Il questionne la Forme et l’Espace en prenant l’hexaèdre pour modèle, explorant la distinction entre ce que l’on voit et ce que l’on sait, mettant en exergue la tension entre ce qui est vu et ce qui est saisi par la raison. Les objets ne sont pas montrés tels que l’œil les perçoit, mais selon les lois de la perspective. L’œuvre naît d’abord dans la conscience, incarnant une “apparence” inspirée de la théorie platonicienne, dévoilant les illusions de la perception et l’ambiguïté de la vision menant vers une réflexion sur la vérité et les préjugés. L’artiste s’interroge : “La forme est-elle essentiellement perçue ou pensée ?”
Delnau instaure un langage plastique, entre apparence et réalité, entre ombre et lumière, entre équilibre et tension qui joue avec la perception du spectateur et porte sur l’ambivalence des formes et de la couleur, du plan à la troisième dimension. Le noir, le blanc, le rouge dont la puissance évocatrice, symbolique et contraire entre en résonance avec sa vision de la dualité du monde, participent de cet univers, au gré des structures géométriques qui en résultent. En parallèle, depuis 2014, la réflexion qu’elle conduit sur la structure originelle du Tangram a généré plusieurs créations ainsi que des jeux. Membre du Comité du Salon Réalités Nouvelles, Paris. Expositions personnelles et collectives en France et à l’étranger.
Ma démarche repose sur le concept philosophique de Deleuze (Répétitions et Différences), ce qui m’a conduit progressivement à quitter l’espace monolithique traditionnel de la sculpture pour m’orienter vers des installations où tout se métamorphose en variations multiples créant ainsi la répétition génératrice du rythme : de ce dernier surgit la forme même, de part les relations spatiales des différentes pièces entre elles.Je me suis orienté vers un Art Minimaliste et Concret où il ne reste plus que l’espace-temps et la vacuité de la forme, l’expression d’une pensée intellectuelle et spirituelle où la forme est le plus souvent un principe géométrique clair qui ne représente que lui-même, le réel et non l’interprétation de celui-ci.
Gilles Drouin est un peintre parisien né en 1973. D’abord lyrique, son approche a évolué progressivement vers le géométrique et le construit. Depuis 2014 il est entièrement focalisé sur l’exploration du rectangle et de ses possibilités. Chaque œuvre est une réflexion sur un agencement possible de quadrilatères.Son travail s’articule souvent autour d’une recherche d’harmonie entre un plan de formes issues de combinaisons de carrés, et un plan de lignes qui mettent en valeur l’ensemble et lui donnent une profondeur, un relief. Une certaine poésie se dégage ainsi de ce travail, pourtant si géométrique en apparence.
Né à Nuremberg en 1954. Académie des Beaux Arts à Nuremberg chez Prof. Günter Dollhopf en 1976-1981. Prix d’Académie en 1977.Vit et travaille à Nuremberg et à Paris.Expositions et participations aux expositions dans des galeries, musées et foires sur l’échelle internationale. Des tableaux dans des collections privées et publiques et dans des musées internationaux.
La peinture d’Hernan Jara trouve son inspiration dans des influences latino-américaines, lesquelles se manifestent soit au niveau des éléments de composition, soit dans la coloration employée. Son œuvre construite autour d’une recherche de la “symétrie-asymétrique”, est composée des formes géométriques de base, jusqu’à obtenir une variété, que certains cas, se structurent grâce à la présence de la ligne oblique. Il ne s’agit pas uniquement des juxtapositions, mais des superpositions des formes et contenus. Expositions récentes : 2024 Galerie Vivienne, Paris ; 2024 Moyens Formats, ACI Paris ; 2023 ACI, Ambassade du Venezuela, Paris ; 2022 Galerie Marino, Paris ; 2022 Galerie Wagner, Paris. Salons : Depuis 2002 Réalités Nouvelles ; Depuis 2000 Comparaisons Grand Palais ; Depuis 2020 Carrément Art Construit.
Kimura è nata a Tokyo e vive e lavora a Parigi. Ha conseguito il diploma presso l’Istituto di Couture BUNKA (Tokyo) e all’Accademia Albertina di Belle Arti di Torino in Scultura. Ha svolto apprendistati in Product Design a Torino, presso il Centro di Studi delle Arti del Vetro di Tokyo (Kanagawa) e nel Fusing con Perrin et Perrin al Musée-Atelier du Verre in Francia. Nel 1999 si trasferisce a Parigi. Nel 2005 incontra Carmelo Arden Quin, fondatore del Movimento Madi Internazionale, entra a farne parte. Dal 2007 partecipa regolarmente al Salon des Réalités Nouvelles di Parigi. Le sue opere sono state esposte in mostre nazionali e internazionali, musei e collezioni pubbliche e private.
Danielle Lescot est peintre et sculpteur-céramiste. Elle concilie dans sa pratique la toile et la terre, passant de l’une à l’autre. Il en résulte pour sa peinture, comme pour ses céramiques – sculptures, le gain d’une plus grande ampleur, d’une libération et d’une cohérence à partir de laquelle les variations d’une œuvre à l’autre manifestent plus nettement sa marque. Son œuvre propose au regard des tonalités géologiques et des jeux de lignes, dans un attachement aux formes géométriques simples, héritage des Suprématistes russes, du mouvement de Stijl, des minimalistes américains. Depuis l’univers clos du tableau, l’organisation abstraite de la surface se conjuguent en des rythmes géométriques.
Né en 1939 en France. Il suit des études d’Arts Appliqués à Metz, de 1958 à 1961 et poursuit sa formation en peinture aux Beaux-Arts de Paris, d’où il sort diplômé en 1969. En 1968, il développe sa réflexion sur les constituants de la peinture. La toile est libérée du châssis, sa surface présente un réseau de quadrillage. Les supports et sujets sont continuellement renouvelés. Dans les années 1970, Pascal Mahou expose avec Viallat, Buraglio et d’autres avec qui il partage des problématiques émergentes. A partir de 1966, Pascal Mahou enseigne les arts plastiques en collège et lycée, puis dans l’enseignement supérieur, à L’université Paris I notamment.
Né en 1968. Les twisters cherchent à transposer les aberrations des mondes virtuels dans le monde réel. L’idée de base est de tordre un volume à tel point qu’il finisse par se retourner sur lui-même, et reprendre sa forme initiale, laissant au passage naître d’autres géométries, aussi éphémères qu’inattendues. L’utilisation des techniques numériques ne se limite pas à ce mouvement de torsion, mais permet de créer bien d’autres mouvements et formes qui, selon la géométrie , le nombre d’éléments, les couleur, ou les paramètres aléatoires, produiront des effets très différents, en variant le choix des figures, donnant un aspect vivant et autonome à l’œuvre.
Mon travail s’articule autour de deux principes géométriques : la grille régulière, et la dissection du carré. Les œuvres que je produis sont les solutions d’un ensemble de contraintes. Ainsi, les “Staircase walks” sont des parcours minimaux sur une grille, d’un coin à son opposé, en utilisant un certain nombre de lignes. Les “Fair dissections” sont des partages du carré en rectangles de même surface, suivant un protocole restrictif. Mon travail a déjà été exposé aux Réalités Nouvelles, au Musée d’Art Moderne de Hünfeld (Allemagne), à la Biennale Internationale de Pont-de-Claix, ainsi qu’au Rouen National Arts. Je suis par ailleurs membre fondateur du Collectif Art Concret – Normandie.
D’apparence abstraite, mon travail est exclusivement constitué de données biographiques présentées la plupart du temps sous forme chronologique. Après avoir travaillé pendant plusieurs années sur des séries qui rendaient visible, grâce à un code couleur, les déplacements géographiques de différentes personnes sur une période donnée, je me suis attelé avec les “Calendriers de nuits” à un travail autobiographique qui s’apparente à une forme de journal intime. L’oeuvre présentée se déploie sur six lignes superposées couvrant une période de deux années. C’est le hasard de la vie et des rencontres qui crée une composition toujours différente et derrière laquelle sourd, en filigrane, un mystérieux vécu.
Née au Japon. 1968 – Diplômé de l’Université Nationale des Beaux-Arts de Tokyo. 1970 – Après avoir obtenu une bourse du Gouvernement Français, travaille à l’Ecole d’Art et d’Architecture de Marseille, (Atelier Jacque Busse), puis étudie à l’ Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Participe au Salon de Mai, Salon des Grands et Jeunes d’aujourd’hui et Réalités Nouvelles. 2004 – Bourse de recherche du Ministère des Affaires Culturelles du Gouvernement Japonais et résidence aux USA. 2011 – Résidence d’artiste à la Fondation Valparaiso Mojàcar (Espagne).
Mon travail concerne l’espace et les éléments qui y sont disposés, par le biais d’ opérations mathématiques simples (mesures). Il est affilié à la tradition de l’abstraction géométrique mais les éléments qui occupent l’espace pictural ne sont pas nécessairement dépourvus d’émotions, ils sont en lien avec l’histoire, le passé et le présent. La nature constructiviste, non objective de mon travail permet une variété d’interprétations et un large éventail de réponses émotionnelles.
Né à Tokyo (Japon), vit et travaille à Paris. Après des études de psychologie au Japon, il s’installe à Paris et étudie le cinéma à l’Université de Paris, avec un intérêt marqué pour la scénographie du cinéma documentaire. Il obtient un doctorat en cinématographie en 1986.Photographe autodidacte, il commence à produire ses propres œuvres et suit en 2009 un stage personnel sur la technique de la chambre noire avec Philippe Salaün, spécialiste du tirage. Depuis près de dix ans, il crée de l’art numérique par programmation. Expositions (choix) : Salon de Tokyo, Musée municipal de Tokyo, Japon, depuis 2004 ; Salon des Réalités Nouvelles, Paris, depuis 2009 ; 2020 Musée de la photographie, Kyoto, Japon.
Né en 1964 en Hongrie. Diplômé de l’Université Óbudai et de l’Université d’art et design de Budapest. Ses maîtres constructivistes furent Csiky et Fajó à Budapest et Arden Quin à Paris. Malevich a eu sur lui une influence artistique prépondérante. “J’ai créé le système poly-dimensionnel dans l’art géométrique. Mes projets artistiques se caractérisent par la peinture sur le plan polydimensionnel avec les couleurs jaune-blanc ou noire-blanc, et de nombreux espaces-trous.” Fondateur du Mobile MADI Museum. Il organisent des expositions à travers le monde et éditent deux périodiques et de nombreux livres d’art. Actuellement directeur artistique de la Saxon Art Gallery (Budapest), membre de la MTA – Széchenyi Academy of Arts.
Né en 1970 à Saitama, Japon. Après avoir obtenu sa Licence en arts plastiques, section peinture occidentale, à Nippon Université (Tokyo), il est arrivé en France en 1996. Il a effectué ses études d’arts plastiques d’abord aux Beaux-Arts de Reims et de Rennes, puis à l’Université (Rennes II et Paris VIII). Il a continué ses recherches en doctorat à Paris VIII, section Esthétique, sciences et technologies des arts. Il expose depuis une vingtaine d’années, notamment en France, au Japon, en Allemagne, en Suisse et aux États-Unis. Lauréat “Arts Hebdo Média” au Salon des Réalités Nouvelles 2017, Paris. Lauréat “Art programme magazine” au Salon des Réalités Nouvelles 2012, Paris. Lauréat du prix the third SAP GRANT, Saison Art Program, Tokyo en 2002.
Bogumila Strojna est une artiste franco-polonaise qui vit et travaille en France. Depuis plusieurs années elle expose au Salon de Réalités Nouvelles, et fait partie du comité de celui ci, ainsi que du comité de la galerie Abstract Project, émanant du Salon. Elle est représentée par la galerie Victor Sfez à Paris. Son travail figure dans des collections particulières, notamment au Musée de Satoru Sato à Tome (Japon), collection de CCNOA (Center for Contemporary Non-Objective Art, Belgique). Elle a réalisée plusieurs œuvres monumentales dans l’espace publique (Matour, Altier – Sculptures en Liberté, ArtLabCity – sculpture monumentale dans l’espace public) ainsi que des projets pour les institutions en France (La Courneuve). Elle expose régulièrement en France ainsi qu’à l’étranger.
Né à Nagoya, au Japon. De 1976 à 1980 il étudie à l’Université des Beaux-Arts et Musique à Aichi, Japon. De 1980 à 1982, il obtient son diplôme de maîtrise de Professeur des Beaux Arts. Depuis 1990 il vit et travaille à Versailles, France. Collections: Bibliothèque Nationale de France ; Musée MENARD, Japon ; Musée MADI, U.S.A.
Vit et travaille entre Paris et Santiago du Chili. Mon vocabulaire est purement géométrique : lignes droites, surfaces planes, carrés, triangles et losanges. Après avoir réalisé un dessin ambigu en 2D, je cherche à retrouver cette même émotion à travers la construction de volumes constitués de plans verticaux ou obliques, transparents, striés ou dépolis. Pour accentuer encore l’illusion optique, je m’attache à équilibrer la sculpture entre les pleins et les vides, les transparences et les dépolis, pour offrir des images les plus différentes possibles selon l’angle de vue. Simplifier les volumes pour que le jeu d’illusions nous baigne dans le doute, et créer une sculpture qui paraisse fictive, illusoire, impalpable et ambiguë, sans lui conférer la monumentalité pesante de la masse.
Mira Odalovic, styliste, à la croisée de l’art et de la mode. Depuis 2005, elle organise les défilés de mode en Serbie, Allemagne, France, au Monténégro. Elle vit et travaille à Paris.